Quelques profils de personnes toxiques. Partie 2

• Les manipulateurs.
• Les harceleurs.
• Les impulsifs émotionnels.
• Les négativités.

Les manipulateurs

• Deux visages distincts.

Les manipulateurs présentent souvent deux visages.

L’on trouve d’un côté, une apparence sociale plaisante et attirante et de l’autre, une facette qui révèle ses véritables sentiments tels que la tristesse, la colère et la vulnérabilité face à ses émotions.

• Ses outils de manipulation.

o   Flatter pour tromper.

Le manipulateur est dans la séduction dans le seul but de plaire, avec comme première approche se confirmer aux attentes de l’autre.

o   Intimider pour se soumettre.

• C’est quelqu’un de colérique, la colère le submerge régulièrement. Une simple frustration peut avoir comme conséquence de le faire sortir de ses gonds et le rendre insupportable pour son entourage.
• Il crée facilement des conflits sans raison apparente.
• Quand il sent qu’il perd le contrôle d’une situation, il devient menaçant et humiliant.

o   Culpabiliser pour se décharger de ses responsabilités.

• C’est un expert du chantage affectif.
• Quand il est pris en défaut, il a l’art de renverser la situation.

o   Déformer la réalité.

• Confronté à ses erreurs, son comportement sera de déformer la réalité avec toute sa mauvaise foi pour faire en sorte de porter la responsabilité sur l’autre.

o   Se victimiser pour susciter la compassion.

• Il aime se présenter comme la victime de la situation en faisant référence en son passé, son enfance et ses relations.
• Quand il fait référence à son enfance, il parle des situations où il a manqué d’affection et des besoins non satisfaits.

·      Quelles les stratégies à mettre en place face à un manipulateur  ?

o   Ne pas se justifier

• Il faut être conscient que l’on est la seule personne à décider de ce qui est bon ou pas pour soi.
• Il faut partir du principe de réaliser ce qui d’après nous est bon, sans pour autant devoir se justifier.

o   Prendre le contrôle

• Ce qui agace le plus un manipulateur, c’est être dans l’ignorance de ce que l’on pense, de nos émotions, de nos relations.
• Pour échapper à son contrôle, il est préférable d’éviter de lui faire part de ses pensées, ses décisions.

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