Constatation dans ma pratique.

J'ai pu constater dans ma pratique, que peu de personnes sont conscientes de l’impact et de l’importance de leurs croyances limitantes, bloquantes.

Des croyances qui sont des freins majeurs - des sources d'émotions toxiques.

Ces croyances qui peuvent être des freins majeurs à la confiance en soi, à la réussite de l’atteinte des objectifs, qui influencent nos perceptions et nos interprétations. Elles sont également très souvent des sources d’émotions toxiques.

Nos croyances nos conditionnent.

Nos croyances conditionnent ce à quoi :

• Nous allons accorder notre attention.
• Nous allons ignorer.
• Nous allons entreprendre ou abandonner.
• Nous allons réussir ou échouer.

Attention quand nos actions valident nos croyances.

Un exemple de croyance.

Un exemple d’une croyance pour développer ce point et que je rencontre régulièrement dans mes séances de coaching.

Jacques à 59 ans, il vient d’être licencié après plus de 30 années dans la société, où il était responsable logistique.

Sa croyance : « J’ai 59 ans, je suis trop âgé sur le marché de l’emploi. »

Cette croyance génère :

La perception de Jacques :

« A 59 ans je n’arriverai plus à trouver du travail. »

L'état émotionnel de Jacques :

Jacques ressent un mélange de colère, de tristesse.

L'alimentation du subconscient.

Cette manière d’être, alimente, inconsciemment son subconscient. C’est le fidèle des plus fidèles, car il exécute, rappel tout ce qu’on lui dit.

L'action qui valide sa croyance :

Vient un jour où Jacques est invité à une interview pour un emploi pour lequel il a postulé. Le fait qu’il a alimenté régulièrement son subconscient sur le principe qu’à 59 ans il ne pourra plus trouver un emploi, a pour conséquence qu’il n’est pas au top de sa forme, qu’il n’a pas une très grande confiance en lui, ce que les membres du jury peuvent facilement découvrir, dans ses réponses qui ne montrent pas un très grand enthousiasme et qui ne les persuadent pas de ses qualités professionnelles.

Conclusion, il reçoit un courrier qui lui annonce que sa candidature n’a pas pu être retenue, ce qui chez Jacques valide sa croyance.

Le cercle vicieux de la croyance.

C’est ainsi que le cercle vicieux de la croyance s’élabore, et duquel il faut absolument en sortir.

De l'auto sabotage.

L’attitude de Jacques face à sa croyance s’apparente à  de l’auto sabotage.

Je ne suis pas occupé à dire qu’il est facile de retrouver du travail à 59 ans, je veux simplement attirer l’attention, que persévérer dans cette croyance bloquante ne va absolument pas aider et fera en sorte que Jacques ne puisse retrouver le dynamisme nécessaire et utile dans sa recherche d’un emploi. Qu’il puisse être dans un état d’esprit lui permettant de croire en ses capacités, ses talents, ses forces et que 59 ans n’est pas nécessairement un obstacle, mais l’expression d’une expérience qui va ainsi lui rendre confiance en lui et lui permettre d’endosser une posture de bien être, d’état émotionnel positif, qui alimenteront positivement son subconscient.

Deux attitudes possibles devant une croyance limitante :

En prendre conscience.

Y travailler pour la modifier, y apporter un antidote.

Chercher à la justifier.

Chercher inconsciemment à justifier la croyance bloquante en pratiquant l'auto sabotage.

Et l'échec provoqué viendra confirmer encore plus solidement la croyance limitante.

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